Comme le révèle le média néo-zélandais Stuff, il s’agit d’un boycott orchestré par les arbitres, en froid avec Tudor, qui office en tant que chronométreur officiel de la Coupe du monde de rugby 2023. Une querelle qui prend son origine, fin 2019, lors de la précédente édition au Japon. 

La marque d’horlogerie suisse, qui a remplacé Tissot comme sponsor après le Mondial 2015, n’a guère apprécié un épisode survenu à ce moment-là. Après le tournoi, qui a vu l’Afrique du Sud soulever le trophée Webb Ellis pour la troisième fois de son histoire, après 1995 et 2007, l’un des officiels, qui a depuis raccroché son sifflet, aurait revendu une montre, une Tudor Black Bay Chronograph Limited Edition, accompagnée de son certificat d’authenticité et évaluée à plus de 25.000 dollars (environ 23.000 euros), qui lui a été fournie par le fabricant, dont Rolex est la maison-mère. 

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