Depuis deux tours, l’UA Vernoise ne connaît que le mauvais temps pour son parcours en phase finale. Et pour le quart de finale qui l’opposait au Scuf Paris sur la pelouse d’Issoudun dans l’Indre, le XV de la fraise a encore été gâté: un ciel bas et de la pluie sans discontinuer ou presque tout au long de la rencontre.
Ceci dit, Thierry Labrousse et son équipe ne sont peut-être pas si malheureux de cette météo détestable. Car une fois de plus, ils se sont imposés, gagnant leur billet pour la demi-finale.
Cette partie était annoncée comme une opposition entre les Parisiens, réputés joueurs, très mobiles, et les Périgordins qui pouvaient s’appuyer sur un paquet solide et en ont fait reculer plus d’un cette saison.
Vergt a perdu rapidement Jérémy Deschamps, touché à une arcade. Malgré cela, sa puissance s’est encore vérifiée face au Scuf, notamment dans une première période où les deux équipes ont marqué l’une après l’autre grâce à leur buteur. À ce jeu, c’est quand même Clément Lozeille qui a mené les débats face à Calvet, son homologue parisien. Ceci, grâce à ses coéquipiers qui ont dominé globalement la partie et l’ont positionné idéalement pour scorer. Les occasions du Scuf ont été plus rares, d’où un score de 9-6 peu avant la pause.
Mieux, même réduit à 14, Vergt a fini fort la première période : sur un coup d’envoi, les vert et blanc ont poussé la réception adverse à la faute. La mêlée qui a suivi a offert un ballon idéal à Lozeille, qui a servi un caviar à Gaëtan Soto pour le premier essai… et un score de 16-6 à la pause.
Revanchard, mais pas assez
Le Scuf est revenu sur le terrain revanchard. Pendant une petite demi-heure, il a dominé son adversaire, sans pour autant réussir à trouver une faille dans une défense bien regroupée. Vergt n’a pas pu éviter cependant quelques fautes qui ont permis à Calvet de ramener son équipe à quatre points. De quoi survolter encore un peu plus un public acquis à la cause de la Dordogne.
Les joueurs de Vergt se sont retrouvés à l’approche du dernier quart d’heure et se sont installés à leur tour dans la moitié de terrain adverse. Le Scuf a bien défendu sa ligne, mais Leo Ake a profité d’une relance hasardeuse pour donner de l’air à sa formation (70e). Suffisamment pour se mettre à l’abri, non sans se faire, quand même, une petite frayeur en toute fin de partie. Calvet n’a pu que réduire l’écart au coup de sifflet final (21-15).
Après deux échecs pour la qualification et une troisième tentative réussie, les Vernois est désormais sur une voie royale vers la finale de Fédérale 3. Encore faudra-t-il se débarrasser de Servian/Boujan, tombeur de Léguevin, dimanche 23 juin.
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